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Le Chemin Néocatéchuménal est né en 1964 dans les bidonvilles de Palomeras Altas, à Madrid (Espagne). Au milieu des pauvres et des marginaux qui ont accueilli l’annonce du Christ mort et ressuscité, l’Esprit Saint a fait naître un processus d’initiation chrétienne basé sur le modèle du catéchuménat de l’Église primitive.
Dans cette ambiance au milieu des plus pauvres de la terre, l’unité entre le tempérament artistique de Kiko Argüello et le zèle pour l’évangélisation de Carmen Hernández a été le laboratoire où a pris forme une synthèse théologico-catéchétique kérygmatique.
Elle est la colonne vertébrale du processus d’évangélisation pour adultes, autour de laquelle s’articule le Chemin Néocatéchuménal.
Kiko et Carmen arrivent à Rome en juillet 1968. Ils commencent les catéchèses du Chemin et, le 2 novembre 1968, la première communauté néocatéchuménale naît dans la paroisse des Martyrs canadiens avec 70 personnes. Le Chemin s’étende à d’autres paroisses et, petit à petit, partout dans le monde.
Avec la croissance du Chemin Néocatéchuménal, itinéraire de formation catholique et de maturation de la foi, les premiers fruits et charismes d’évangélisation propres à cette réalité ecclésiale commencent à apparaitre.
En 1986, Jean-Paul II accueille avec joie et favorise à Rome la naissance du premier séminaire Redemptoris Mater.
Depuis le Jubilé des jeunes en 1984 et la première journée mondiale pour la jeunesse (JMJ), convoquée par Jean-Paul II en 1986, des milliers de jeunes du Chemin Néocatéchuménal ont accompagné le saint Père lors de ces rencontres. À chaque JMJ, les responsables du Chemin organisent une rencontre vocationnelle, à l’occasion de dans laquelle des centaines de garçons et de filles manifestent leur disponibilité pour le sacerdoce et la vie consacrée.
En 1988, à Porto San Giorgio (Italie), saint Jean-Paul II a envoyé en mission, dans des différents coins du monde, les 100 premières familles.
En 1997, saint Jean-Paul II a été le promoteur des statuts du Chemin Néocatéchuménal.
Benoit XVI aussi a accompagné, soutenu et encouragé le développement missionnaire du Chemin. En 2008, durant son pontificat, les statuts ont été définitivement approuvés par la Congrégation du Conseil pontifical pour les laïcs. En 2010, la Congrégation pour la Doctrine de la foi a donné l’approbation doctrinale du directoire catéchétique.
Le Chemin Néocatéchuménal est un itinéraire de formation catholique « au service de l’Évêque comme une des modalités de réalisation diocésaine de l’initiation chrétienne et de l’éducation permanente de la foi ». Cet itinéraire est proposé aux fidèles qui souhaitent raviver dans leur vie la richesse de l’initiation chrétienne.
Vécu au sein des paroisses, en petites communautés de personnes de conditions sociales et d’âges divers, son but ultime est de conduire progressivement les fidèles à l’intimité avec Jésus-Christ, d’en faire des sujets actifs dans l’Église et des témoins crédibles de la Bonne Nouvelle du Sauveur. Il est un instrument pour l’initiation chrétienne des adultes qui se préparent à recevoir le Baptême.
Le Chemin Néocatéchuménal est actuellement présent dans 134 pays des 5 continents, avec 21.300 communautés réparties dans 6.270 paroisses et 125 séminaires diocésains missionnaires. Parmi les 1.668 familles en mission, 216 sont dans des « missio ad gentes » présentes dans des zones déchristianisées des 5 continents.
Depuis ses origines, en 1964, le chemin est guidé par une équipe, formée d’abord par Kiko Argüello et Carmen Hernandez, initiateurs du Chemin, et le P. Mario Pezzi. Suite à la mort de Carmen, en 2016, l’équipe a été intégrée par María Ascensión Romero.
L’équipe internationale est responsable de la réalisation du Chemin Néocatéchuménal dans le monde entier, en collaboration avec les itinérants de chaque nation.
Le Chemin est arrivé en Tunisie en 2002 à la demande de l’Evêque Mgr. Fouad Twal ; ses successeurs, Mgr. Maroun Laham et Mgr. Ilario Antoniazzi, ont continué de soutenir ce cheminement de foi.
Actuellement, la communauté a son point de repère à la paroisse Jeanne d'Arc de Tunis et compte une dizaine de membres.
Un autre charisme issu du Chemin Néocatéchuménal en vue de l'évangélisation de ceux qui sont loin de l'Église, la Missio ad Gentes, est présent à Djerba depuis 2017, à la demande de l’Évêque. Elle est composée par P. Matteo, curé de la paroisse, et trois laïcs : un Espagnol, une Française et une Libanaise.
Le Chemin Néocatéchuménal est né en 1964 dans les bidonvilles de Palomeras Altas, à Madrid (Espagne). Au milieu des pauvres et des marginaux qui ont accueilli l’annonce du Christ mort et ressuscité, l’Esprit Saint a fait naître un processus d’initiation chrétienne basé sur le modèle du catéchuménat de l’Église primitive.
Dans cette ambiance au milieu des plus pauvres de la terre, l’unité entre le tempérament artistique de Kiko Argüello et le zèle pour l’évangélisation de Carmen Hernández a été le laboratoire où a pris forme une synthèse théologico-catéchétique kérygmatique.
Elle est la colonne vertébrale du processus d’évangélisation pour adultes, autour de laquelle s’articule le Chemin Néocatéchuménal.
Kiko et Carmen arrivent à Rome en juillet 1968. Ils commencent les catéchèses du Chemin et, le 2 novembre 1968, la première communauté néocatéchuménale naît dans la paroisse des Martyrs canadiens avec 70 personnes. Le Chemin s’étende à d’autres paroisses et, petit à petit, partout dans le monde.
Avec la croissance du Chemin Néocatéchuménal, itinéraire de formation catholique et de maturation de la foi, les premiers fruits et charismes d’évangélisation propres à cette réalité ecclésiale commencent à apparaitre.
En 1986, Jean-Paul II accueille avec joie et favorise à Rome la naissance du premier séminaire Redemptoris Mater.
Depuis le Jubilé des jeunes en 1984 et la première journée mondiale pour la jeunesse (JMJ), convoquée par Jean-Paul II en 1986, des milliers de jeunes du Chemin Néocatéchuménal ont accompagné le saint Père lors de ces rencontres. À chaque JMJ, les responsables du Chemin organisent une rencontre vocationnelle, à l’occasion de dans laquelle des centaines de garçons et de filles manifestent leur disponibilité pour le sacerdoce et la vie consacrée.
En 1988, à Porto San Giorgio (Italie), saint Jean-Paul II a envoyé en mission, dans des différents coins du monde, les 100 premières familles.
En 1997, saint Jean-Paul II a été le promoteur des statuts du Chemin Néocatéchuménal.
Benoit XVI aussi a accompagné, soutenu et encouragé le développement missionnaire du Chemin. En 2008, durant son pontificat, les statuts ont été définitivement approuvés par la Congrégation du Conseil pontifical pour les laïcs. En 2010, la Congrégation pour la Doctrine de la foi a donné l’approbation doctrinale du directoire catéchétique.
Le Chemin Néocatéchuménal est un itinéraire de formation catholique « au service de l’Évêque comme une des modalités de réalisation diocésaine de l’initiation chrétienne et de l’éducation permanente de la foi ». Cet itinéraire est proposé aux fidèles qui souhaitent raviver dans leur vie la richesse de l’initiation chrétienne.
Vécu au sein des paroisses, en petites communautés de personnes de conditions sociales et d’âges divers, son but ultime est de conduire progressivement les fidèles à l’intimité avec Jésus-Christ, d’en faire des sujets actifs dans l’Église et des témoins crédibles de la Bonne Nouvelle du Sauveur. Il est un instrument pour l’initiation chrétienne des adultes qui se préparent à recevoir le Baptême.
Le Chemin Néocatéchuménal est actuellement présent dans 134 pays des 5 continents, avec 21.300 communautés réparties dans 6.270 paroisses et 125 séminaires diocésains missionnaires. Parmi les 1.668 familles en mission, 216 sont dans des « missio ad gentes » présentes dans des zones déchristianisées des 5 continents.
Depuis ses origines, en 1964, le chemin est guidé par une équipe, formée d’abord par Kiko Argüello et Carmen Hernandez, initiateurs du Chemin, et le P. Mario Pezzi. Suite à la mort de Carmen, en 2016, l’équipe a été intégrée par María Ascensión Romero.
L’équipe internationale est responsable de la réalisation du Chemin Néocatéchuménal dans le monde entier, en collaboration avec les itinérants de chaque nation.
Le Chemin est arrivé en Tunisie en 2002 à la demande de l’Evêque Mgr. Fouad Twal ; ses successeurs, Mgr. Maroun Laham et Mgr. Ilario Antoniazzi, ont continué de soutenir ce cheminement de foi.
Actuellement, la communauté a son point de repère à la paroisse Jeanne d'Arc de Tunis et compte une dizaine de membres.
Un autre charisme issu du Chemin Néocatéchuménal en vue de l'évangélisation de ceux qui sont loin de l'Église, la Missio ad Gentes, est présent à Djerba depuis 2017, à la demande de l’Évêque. Elle est composée par P. Matteo, curé de la paroisse, et trois laïcs : un Espagnol, une Française et une Libanaise.